Malgré toi, Malgré moi...

(Bon j'ai ésiter pendant cinq minute entre poeme d'amour ou autre poeme...)

Ce soir, je ne veux plus me lever...
Ce soir je ne veux plus bouger...
Ce soir je sens la haine me quitter...
Ce soir ce sent la culpabilité m'habité...
Ce soir je me pose ces questions si inusité...

Pourquoi t’ai-je tué?
Pourquoi j’ai aimé?
Pourquoi m’as-tu supplié?
Pourquoi je n’ai pas eu pitié?
Pourquoi avoir résister?

Je t’ai épargner cette atroce douleur
Mais toi tu m’as donner cette douleur, ce malheur
Pourquoi je dis que c’est un moment de bonheur?
Alors que tout le monde autours de moi est en pleur
Cette douleur me va droit au cœur…

Pourtant, de la souffrance, je t’ai sauvé!
Pourquoi m’avoir mutiler?!
Je ne voulait que t’aimer!
Mais tu m’as rejeté
En écoutant l’histoire de mon passé…

Ce soir, tu vas me manquer…
Ce soir, je regarde mes atrocités…
Ce soir, je veux t’aimer…
Ce soir, je veux comme autrefois, me faire serrer…
Ce soir, tes bras vont me manquer…
Ce soir, la chaleur de ton corps va me faire rêver…
Ce soir, tes baisé vont me faire pleurer…
Ce soir, ton absence va me tuer…
Ce soir, je vais te retrouver…
Ce soir, mon sang va couler…

Ce matin, je me réveille à tes côté…
Ce matin, je veux t’embrasser…
Ce matin, je veux te parler…
Ce matin, je veux regretter…
Ce matin, je suis comblé…
Ce matin, je veux tout te donner…
Ce matin, je veux te toucher…
Ce matin, je veux te regarder…
Ce matin, je viens de retrouver mon être aimé…

Pourquoi tu me souris?
Pourquoi je te souris aussi?
Pourquoi me serres-tu dans tes bras?
Pourquoi je veux rester là?
Pourquoi tu lève ma tête?
Pourquoi je me permet de te regarder?
Pourquoi tu prend ma main?
Pourquoi je sais que ce n’est pas vain?
Pourquoi tu m’embrasse?
Pourquoi je t’enlace?

Maintenant que j’y pense, j’ai honte…
Je sens, qu’au bout de ma peine, je me remonte…
Tu me dis que tu m’as pardonner…
Mais même moi je sens que je vais pleurer…
Je sens le regret monter dans mon corps…
Tu me dit que tu n’es pas mort…
Mais tu vis dans mon cœur…
Je te dis que je vais mourir à chaque heure…
Tu m’embrasse tendrement et me dit que je le suis déjà…
Mais c’est vrai… Dans la mort, je suis lié à toi…
Dans notre monde, on survit grave à notre amour…
Je resterais avec toi pour toujours…

Le long de mes joue ce mette à couler des larmes…
Moi qui étais si forte vivante, ici je me sens sans arme…
Contre les force de l’amour je reste démunie…
Je suis le démon qui attend d’être punit…
Je t’aimais tant, je t’aime tellement…
Je t’aimerais encore tellement longtemps…
Que le diable m’emmène en enfer!
Que les anges m’emmène dans leur repère!
Je t’aimerais contre vent et marée
Contre volonté et armé
Je t’aimerais malgré eux et malgré toi…
Malgré la vie, malgré moi…